Message:
>La seule chose qu'il FAUT faire, dans le sens le plus general du terme,
>c'est chercher les composantes de son bonheur personnel et deployer les
>moyens necessaires a son obtention.
En disant cela, tu poses comme acquis que les besoins fondamentaux (bouffe, logement, santé) sont remplis.
Or, ils ne se remplissent pas tous seuls...
Il FAUT donc assurer D'ABORD les besoins fondamentaux.
Et seulement ENSUITE, il FAUT s'assurer le bonheur.
Tu dis que le travail peut être une composante du bonheur...
AMHA, dans ce cas, ce n'est pas du travail au sens étymologique du terme, c'est juste un moyen agréable d'obtenir un salaire.
Pour mettre en perspective, si tu étais rentier avec une rente suffisante, tu pourrais accomplir ce "travail" de manière bénévole uniquement pour poursuivre ton bonheur, et ce ne serait donc plus un "travail", mais une "activité".
Dans le cas contraire, le travail est juste un moyen d'obtenir une rémunération, qui servira à assurer les besoins fondamentaux.
Par contre, là où je te suis, c'est que si les besoins fondamentaux sont remplis par ailleurs (rente, conjoint ayant un revenu suffisant pour assurer le nécessaire et le superflu, ...), le travail (au sens d'activité impliquant une contrainte subie) n'est pas nécessaire. Par contre, une activité (même si elle implique une contrainte, à condition qu'elle soit choisie, et non pas subie) peut l'être si elle contribue à la recherche du bonheur.
Licorne,
au travail...
PS : et la question est, comment se faire du pognon en quantité suffisante, sans contrainte, et de manière légale?
Sachant que je n'ai aucune chance de devenir rentier à court terme, et qu'épouser une riche héritière ne me tente pas plus que ça, j'ai déja Viviane, ma recherche du bonheur passe par elle, et la bigamie est illégale. |