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>. mon actuel amoureux se sent trop jeune (bientot 25 ans) et a décidé de partir faire le tour du monde en bateau!
C'est sérieux ou c'est juste une façon de parler ?
>De mon coté, je suis en train de me lancer dans la vie active et je vais devoir faire un choix entre ma carriere et le jeu de rôle deja, alors le mariage, les gosses et tout le toutim... j'ai tiré un gros trait dessus...
C'est vrai que se lancer dans un nouveau job avec des ambitions à long terme ça représente un gros changement, ça mobilise de l'énergie, de l'attention, du temps etc etc. Mais passé le cap de la période d'adaptation, une fois que les choses se tassent un peu, il redevient possible de réorganiser son temps pour refaire un peu de place à ses anciennes activités. Peut être pas autant qu'avant (parce que de toute façon c'était toujours mieux aaaaaavant), mais disons qu'au lieu de faire des longues campagne de JdR à raison de trois séances par semaine on peut toujours trouver de la place dans son aggenda pour faire une partie tranquille tout les 15 jours.
Pour ce qui est d'avoir des enfants tout en ayant une vie professionnelle, je crois que c'est Niglaude qui disait dernièrement (en s'adressant à Fyly) qu'il y a pas de "bon" moment pour avoir des enfants, si on en veut il faut en avoir et s'arranger pour faire le reste en même temps. Je crois que c'est un conseil avisé.
>2. en ce moment tout mes amis ont des enfants ou vont en avoir... il y en a partout. Le pire c'est que souvent les femmes sont plus jeunes que moi et donc je me sens toute drôle quand je vois mon amie Lysiane qui attends son second, ou que je reçoit des cartons d'invitations à des baptemes, des faire-parts,
Toi aussi tu es encerclée ;o)
Ben au moins comme ça on est deux. Plus un seul des mes amis n'est célibataire et dans mon entourage je compte les couples sans enfants sur les doigts d'une main.
>3. Je suis invitée souvent chez mes amis. Mes meilleurs amis. Je me retrouve la seule femme à vivre chez papa, sans homme fixe (enfin si mais... il est étudiant et pas prés à se mettre sous le même toit que moi), sans CDI, et n'étant pas passé par la case "j'accouche". HORRIBLE.
C'est vrai que d'être le seul célibataire assi à une table de où il n'y a que des couples ça fait une drole d'impression. Déjà je remarque que les célibataires aiment passer des soirées entre eux tandis que les couples préfèrent inviter d'autres couples (plus de sujets de conversations en commun, souci de symétrie dans le plan de table,...) donc plus de couples parmis mes amis égal plus de soirées pizza-playstation, on fait avec quoi.
>5. L'autre jour j'étais invité à une soirée. Les "femmes" (mariées ou en concubinage et toutes des enfants à la clef) ont commencé à parler d'accouchement naturel, de péridurales, de césariennes...
Je me suis sentie mal.
mais mal...
J'imagine.
Il fut un temps où dans les soirées les hommes finissaient toujuors par se retrouver ensemble pour parler service militaire et les femmes pour parler accouchement (socialement parlant, je suis convaincu que ces deux "passages obligés" étaient plus ou moins équivalents pour l'un et l'autre sexe). Mais depuis la fin du service et l'implication des pères dans la grossesse et l'accouchement les choses ont changé. Ainsi je me souviens de certaines après midi passées chez ma soeur avec le sentiment assez inconfortable d'être complètement en dehors de la conversation pendant une bonne partie de la réception.
>Deja que je me sens carrement à l'Ouest à vivre comme une ado là, alors...
Ben faut essayer de créer de nouveaux liens avec des gens qui ont plus de points communs avec toi, avec des centres d'intérêts et ton style de vie. Pas la peine de me répondre que c'est plus facile à dire qu'à faire, je susi bien placé pour le savoir.
>mal. PEUR.
Moi j'en suis au stade de l'indifférence et de la résignation mais je ne suis pas sûr que ce soit un exemple à suivre. |
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