Message:
>Pour aller plus loin sur l'incitation, je pense que l'incitation n'est pas de
forme booléenne (j'incite / j'incite pas).<
Ah, ces informaticiens, ils faut toujours qu'ils nous sortent des mots compliqués qu'eux seuls comprennent (avec peut-être les mathématiciens et autres trucs en "iens" (genre martiens))... A force de discuter avec des machines, il faut pas perdre de vus que les humains ont un langage et des langues bien à eux. Le jargon, ça va pour des discussions hermétiques de spécialistes, là bofbof...
Donc chais pas, je te propose: binaire, antynomique, opposé, bipolaire (euh, non pas bipolaire)....
> Il y a de nombreux (pourquoi pas une infinité même) degrés d'incitation, depuis "inciter vaguement" à "inciter fortement".<
Absolument, d'où l'usage des adverbes.... Je vois que tu redécouvres le français, je suis fier.... (excuse mon ironie, mais le 'booléen' balancé à la tronche en titre et répété en début de texte m'a fait un drole d'effet (et encore tu as de la chance que j'avais un vague souvenir de l'existence de ce mot , sinon, ça aurait fait encore plus drole)...
>Le simple fait de publier peut etre vu comme le premier degré microscopique de
l'incitation, imperceptible par locuteur mais pas par l'inconscient de
l'auditeur.<
Je sais pas... En même temps dans l'acte de publier, l'auditeur n'intervient pas (il intervient au niveau juste après).... Ensuite au niveau de l'auteur, je pense qu'il faut faire du cas par cas...
>Oui, mais j'avais aussi précisé "°C".<
Pas moi... ;-) J'avais rien précisé, mais vous vous êtes précipités sur des explications scientifiques a vocation objective ne voyant même pas la subjectivité de mon propos... Mais je fais juste mon chieur...
>> Not true.... Notre pensée est totalement liée à notre langage, s'il y a des
ambiguités dans l'un c'est qu'il y en a dans l'autre.<<
>Interessant. Tu tiens ça d'où?<
De la pointe de la recherche neuro-psycho-linguistique (pas directement toutefois, mais de la bouche de linguistes)...
>Quand même, parfois on a du mal a formuler un truc que l'on pense, tout en ayant la conviction qu'il y a un bon moyen de le formuler. Par exemple: toutes ces fois où "on l'a sur le bout de la langue".<
A priori ce "on l'a sur le bout de la langue", c'est un probleme de connexions entre centres du cerveau, c'est pas directement lié au phénomène de pensée (maintenant, je suis pas spécialiste non plus)...
>Ca n'est pas forcément appelé à durer éternellement.<
Chais pas pourquoi, mais je doute de la faisabilité d'un ordinateur avec une intelligence humaine dans un futur proche.... Mais en même temps, je suis pas spécialiste non plus...
Booga |