Un punaise de film coup de poing comme je les aime.
Des tas de trucs très bien vus (surtout sur la futilité de petites choses de la vie auquel s'accrochent les personnages, comme lorsque Franck insiste pour sortir "les beaux verres" pour porter un toast).
Des montées d'adrénaline électrisantes qui frappent au foie.

Ca fait du bien, en ces tristes temps ou à la place de la hargne des Romero, Hooper ou Carpenter, on n'avait droit qu'à du Residen Evil lyophilisé.

Qui aurait dit que l'héritier du George Romeor de Dawn of the dead s'appelerait Danny boyle ?

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