Message:
bon voila :
a première nuit du Cinéma Asiatique aura lieu le 24 Avril au cinéma Max Linder. Au programme, les films : Oseam, Wonderful Days et Mari Iyagi (My Beautiful Girl Mari ).
@+
Bussiere
sachez juste que wonderful days est une bombe sans nom niveau graphisme que mari Iyagi est blindé de titres critiques positives et appelé un raison comme un nouveau myazaki oseam je ne connais pas ...
bon je vous hais ^^ je serez pas sur paris ce wkend la ....
dilemne
wonderful day ....
http://wonderfuldays.co.kr/english/
L’expansion artistique de la Corée – dans le monde cinématographique en particulier – s’étend à bien des domaines. Wonderful Days fut, à juste titre, présenté lors de sa conception et de sa sortie en salles, comme étant le film le plus cher de l’histoire de l’animation coréenne. Mais bien plus que ça, les concepteurs de Wonderful Days ont avant tout misé sur l’originalité…
Onze millions de dollars de budget, 300 personnes travaillant sur une étendue de cinq ans, mais surtout, utilisation d’un procédé dit révolutionnaire, le "Multi Layered Animation", consistant en la superposition de diverses techniques graphiques : impressionnant est peut-être le meilleur qualificatif que l’on pourrait tirer de Wonderful Days.
Desservi d’un mélange de Computer Graphic (animation 3D), d’animation 2D (pour les protagonistes) et de miniatures pour certains décors, Wonderful Days prend toute sa démesure sur grand écran : action ultra speed, violence sèche, science-fiction apocalyptique, lyrisme ; les genres se mélangent et se distinguent en offrant aux spectateurs une claque visuelle comme rarement dans un film d’animation, le tout mis en musique par des compositions que Georges Lucas ne renierait pas.
Les trois techniques utilisées – malgré le fait qu’elles ne soient pas véritablement révolutionnaires – peuvent être interprétées comme étant factrices d’immersions dans l’ambiance, non pas unique, mais post-apocalyptique de Wonderful Days, faisant alors vivre aux spectateurs de nouvelles sensations.
Synopsis
Dans un futur hypothétique et apocalyptique, le monde est plongé sous une épaisse couche de pollution. Néanmoins, une ville dirigé et entretenue par le programme Delos est le seul endroit sur terre ou la pollution n’est pas maîtresse : Ecoban. Cette ville tire ses énergies de la pollution extérieure, et assouvit la population de la ville de Marr dans un enfer industriel extrêmement polluant.
Shua, leader d’un groupuscule de rebelles, entamera alors une mission de sabotage de Delos afin de contrer ses desseins. Infiltré dans la ville d’Ecoban, il reverra chez l’ennemi une amie d'enfance, Jay, à qui il avait promi un jour de montrer le ciel bleu. Simon, ancien ami de Shua et prétendant de Jay, fera tout pour l’arrêter. |