Message:
L'échellonement est un sujet important.
Il n'a rien de pire que les effets de seuil en économie.
Il faut donc que les aides diminuent au fur et à mesure que les revenus augmente, mais pas de manière trop brutal, de manière à ne pas défavoriser les classes moyennes.
Maintenant, je ne suis pas rentré dans les détails.
Les universités se financent directement par les inscriptions.
C'est autant d'argent que l'etat peut mobiliser les plus pauvres.
Deux manières de voir les choses :
- l'Etat reduit ce poste budgétaire pour n'aider que les plus pauvres.
Avantage, il peut l'utiliser pour autre chose (retraite ou santé par exemple ou baisse d'impot).
Problème, risque principalement de leser les classes moyennes et par ricochet de limiter les moyens des universités.
- l'Etat maintient son budget aidant un peu tout le monde, mais principalement les plus pauvres.
Avantage : le budget global des universités augmente (car a ce que verse l'etat aux étudiants qui revient directement aux universités se rajoute la part que les plus riches sortent de leur poche).
Problème : différences limitées par rapport à un système d'enseignement gratuit, mas vécu lar pes foyers les plus riches (dans cette situation ils payent juste deux fois, sans aucune compensation sous forme de baisse d'impot ou de nouvelles prestations).
Bon c'est super simplise, il y a beaucoup plus de solutions et chacune devrait être étudiée selon plusieurs hypothèses.
C'est juste une illustration. |